Du charbon dans les veines

Comédie sociale

DU CHARBON DANS LES VEINES

De : Jean-Philippe DAGUERRE

Mardi 16 décembre 2025
GARE DU MIDI – 20h30
Durée : 1h20

Mise en scène : Jean -Philippe Daguerre
Assistant de mise en scène : Hervé Haine
Décors : Antoine Milian
Costumes : Virginie H
Lumières : Moïse Hill
Musique : Hervé Haine

Production : KI M’AIME ME SUIVE – Le Grenier de Babouchka et Place 26

Avec : Jean-Jacques Vanier, Julien Ratel, Juliette Behar, Raphaëlle Cambray,
Théo Dusoulié, Aladin Reibel, Jean-Philippe Daguerre

“J’ai fait appel à sept comédiens de grand talent que j’adore aussi pour ce qu’ils sont, pour ce qu’ils font et pour ce qu’ils sont capables de faire : donner le meilleur d’eux-mêmes en toutes circonstances pour vous offrir le plus beau des voyages au cœur de la vie extraordinaire des gueules noires.” J-P Daguerre

Jean-Philippe Daguerre nous emmène dans une cité minière du Nord, dans la France de 1958.
Première télé, discours du général de Gaulle, mineur ravagé par la silicose, premiers émigrés polonais, puis marocains : à travers de solides histoires d’amitié, et la mort qui rôde, et l’amour qui surgit, c’est aussi toute une tranche de l’histoire de France que réveille l’auteur-acteur metteur en scène.

TELERAMA
TT -” Du théâtre à l’ancienne, artisanal, généreusement joué, et qui fend le cœur comme il fait sourire … Et le savoureux mélodrame est incarné avec chaleur par une troupe à l’unisson où rayonne, émeut et fait rire
Jean-Jacques Vanier en mineur-philosophe. Et accordéoniste !”

LE PARISIEN
” Il y a de la tendresse assurément dans l’écriture de Jean Philippe Daguerre qui, de texte en texte,(ex) pose sur scène son amour de l’humain…Daguerre nous cueille à nouveau. Au son d’envolées magiques à l’accordéon, il nous livre et on y fonce volontiers à une belle émotion.”

LE FIGARO
” Que demande-t-on au théâtre? Des sentiments forts, des personnages attachants, une histoire qui transporte. Sans oublier du romanesque. Jean-Philippe Daguerre l’a bien compris…
Eclairés par Moise Hill ces gueules noires et ces figures féminines incarnées avec brio dans une mise en scène fluide marquent les esprits.”