Comédie classique
L’AVARE
De : MOLIÈRE
Jeudi 10 avril 2025
GARE DU MIDI 20H30
Durée : 1h45
Mise en scène : Alain Bertrand
Collaboration artistique : Carlo Boso
Direction des chants : Cécile Boucris
Direction des instruments : Raphaël Goyon
Costumes : Héloïse Calmet
Pantomime : Helena Serra
Musique : Clément Jannequin, Jean-Philippe Rameau, Dietrich Buxtehude
Lumières : Gaspard Mouillot
Adaptation : Alain Bertrand
Production : COMPAGNIE ALAIN BERTRAND
Avec le soutien de la Ville de Rives, de la Ville de Grenoble, du Conseil Général de l’Isère, de la MJC de Rives, de la MJC de Pont de Claix, de l’Académie Internationale des Arts du Spectacle de Versailles et de la Cour du Barouf d’Avignon
Avec : Alain Bertrand, Christelle Garcia, Raphaël Goyon, Philippe Codorniu, Clément Joubert, Evgenia Konstantinos, Angélique Andréaz.
Harpagon qui a réussi dans les affaires d’argent, pense pouvoir s’acheter une douceur conjugale pour ses vieux jours, au mépris des désirs des uns et des autres, même de ses propres enfants. Au prix d’un coup de théâtre «moliéresque», ses projets sont ruinés et la seule consolation qui lui reste est enfermée dans une cassette…
Adaptation dans le style Commedia dell’arte de la comédie de Molière, avec chants, danses, pantomime, musique de scène, jeu avec le public, improvisations…
Une thématique qui interpelle le public d’aujourd’hui : argent, intolérance, profits sans limite, déshumanisation des rapports humains, sexisme… Toute la modernité de Molière est concentrée dans cette comédie.
MIDI LIBRE
« L’Avare. Jubilatoire !
Fidèle à Molière la compagnie présente un spectacle qui a tout pour plaire. Parents emmenez-y vos enfants ! Enfants emmenez-y vos parents ! »
DAUPHINE LIBERE
Harpagon, tenu par Alain Bertrand a été particulièrement apprécié. D’ailleurs, le Public ne s’y est pas trompé dans ses réactions finales ; et l’on a pu entendre: « J’ai cru retrouver Louis de Funès » pour d’autres: « C’était Michel Bouquet ».
BAROUF MAGAZINE
« Hâtez-vous de voir cet Avare, joué avec passion et métier. Cette version de facture classique fait la démonstration que le texte de Molière, sublimé par une solide interprétation, se suffit à lui-même. »