La valse du hasard

25Allégorie humoristique

LA VALSE DU HASARD

De VICTOR HAÏM

Jeudi 8 février 2018 à 20h30
Gare du Midi
Durée : 1h20 
Mise en scène : Carl Hallak et Patrick Courtois
Décor : Bernard Bourdeu
Lumières : Philippe Quillet
Costumes : Rick Dijkman
Musique : Sylvain Gazaignes
Crédit photos : Karl Galim
Production : SABINE DESTERNES, GILLES DE LA RochefordiEre 

Avec : Marie Delaroche, Patrick Courtois

ACTUALITE JUIVE :

« Y a-t-il une vie après la mort ? Qui tire les ficelles du destin ? Quelle est la part du hasard ? A quoi tient une vie ? » Ce sont ces nombreuses et surprenantes questions que pose Victor Haïm, avec son esprit malicieux et son humour dévastateur. 

« Une femme meurt après un terrible accident de voiture. Elle est conduite dans un endroit empli de valises diverses qui sont autant d’âmes de défunts, et elle doit se livrer à un curieux jeu, mené par un Ange.

Dans un duo oratoire éblouissant et plein de rebondissements, se déroule alors le récit de vie de cette femme, ses failles, ses réussites, ses réalisations, ses choix qui seront analysés et comptabilisés scrupuleusement, selon des règles de jeu qui lui échappent, en addition (peu) et en soustraction (beaucoup) pour tenter d’atteindre un certain score qui la conduira vers l’éternité…

Le suspens est entretenu depuis le début et va crescendo admirablement entretenu par deux comédiens Marie Delaroche, fragile et forte à la fois et Patrick Courtois, scrupuleux et exalté. »

Michèle Lévy-Taïeb

« Les deux comédiens  rendent avec virtuosité les constantes ruptures de ton du texte, et l’énergie de la mise en scène est en symbiose parfaite avec l’enthousiasme de leur interprétation. Un petit spectacle en apparence sans prétention mais qui, à la réflexion, va bien au-delà des limites du simple divertissement. »

Francis Dubois

FROGGY’S DELIGHT :

« Pour la mise en scène Carl Hallak et Patrick Courtois ont opté pour un jeu réaliste au premier degré et un décor suranné qui confère à l’ultime antichambre l’allure d’une consigne de gare d’un autre siècle…

En pseudo-fonctionnaire zélé à la Courteline, Patrick Courtois campe un comptable-croupier, matou sournois qui use et abuse de son pouvoir pour taquiner la jolie et fébrile souris qui continue à se battre et se débattre, interprétée par Marie Delaroche. » 

LE MONDE.FR :

 « L’ange interprété par Patrick Courtois à la mine chafouine, est aussi truculent qu’un moine défroqué, et la femme jouée par Marie Delaroche, frémissante de féminité, est très émouvante. »

 Evelyne Trân

FIGAROSCOPE :

 « Dans ce type de pièce, tout tient à l’accord musical des interprètes. Qui serait insensible au charme de Marie Delaroche ? Elle est belle et sensible et on lui pardonnerait tout… Est-elle aussi pure qu’on voudrait l’imaginer ? Et cet ange, que veut-il ? Une joute, un jeu, un charme. Très bien écrit et mené. Très joliment interprété. » 

PARISCOPE :

«  C’est un huis-clos tout en tension que nous offre ici Victor Haïm. Les deux metteurs en scène ont su saisir de manière habile et inventive toute l’absurdité et l’ironie du texte. On plonge littéralement dans cet univers irréel et angoissant, (…) peuplé de valises censées contenir des corps vidés de leur âme. »

Photos:

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