Une maison de poupée

Théâtre classique

UNE MAISON DE POUPEE

De HENRIK IBSEN

Jeudi 10 Janvier 2019 à 20h30
Gare du Midi
Durée : 1h30

Adaptation et mise en scène : Philippe Person
Traduction : Régis Boyer
Lumière : Alexandre Dujardin
Décor : Vincent Blot

Production : SERGE PAUMIER PRODUCTION

Avec : Florence le Corre, Nathalie Lucas, Philippe Calvario et Philippe Person

C’est Noël et la maison de poupée, où vit sous l’apparence du bonheur le couple Torvald et Nora Helmer avec leurs trois enfants, se prépare à la fête. D’autant que Monsieur va devenir directeur de banque.
Mais c’est sans compter sur Krogstad, son employé, maître chanteur qui pour se venger menace de révéler le lourd secret de Nora.
La maison de poupée se transforme en cage de verre, le drame bourgeois en thriller hitchcockien. Les retrouvailles avec son amie d’enfance, Madame Linde, finiront de lui ouvrir les portes de la vérité et de la liberté d’être soi-même.

LE MONDE.FR :
« Nous avons été conquis par l’interprétation de Florence Le Corre d’une délicatesse, une justesse impressionnantes ! Cette jolie boule de cristal illumine ses partenaires, Philippe Person, excellent en maître chanteur mordant et vénéneux, Philippe Calvario à mi-chemin entre le mari m’as-tu-vu et le pauvre type et Nathalie Lucas qui joue avec finesse, l’amie réfléchie et bienveillante. […]Quelle grâce tout de même que cette pièce dans ce monde de brutes. Quel miracle ! »
Evelyne Tran
TELERAM A :
« La pièce d’Henrik Ibsen fit scandale à sa création (1879). On le comprend tant les rapports entre les sexes et la place de la femme y sont dénoncés avec vigueur. La mise en scène de Philippe Person crée des échos très contemporains. […]Tous les comédiens sont bons, Florence Le Corre (Nora) est excellente. »
Sylviane Bernard-Gresh

PUBLIKART :
« Cette Maison de Poupée subjugue par l’intensité de son interprétation et la modernité de sa mise en scène. »

RUE DU THEÂTRE :
« Une partition à quatre comédiens, menée avec un rythme et une justesse qui transforment cette histoire en une énigme où la tension monte. Le texte est maîtrisé, les dialogues sonnent vrais, les monologues aussi. L’élément dramatique majeur de cette pièce – la boîte aux lettres – est dissimulé derrière une vitre en fond de scène où est installé un micro, rehaussant l’écho dramatique des échanges qui se passent dans cet espace de la vérité. Certains instants musicaux viennent rythmer ces différents tableaux à la façon d’une adaptation cinématographique. »

Photos :

 

 

 

 

 

 

 

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