Biopic
MARILYN INTIME
De CLAIRE BOROTRA
Jeudi 22 mars 2018 à 20h30
Casino Municipal
Durée : 1h10
Mise en scène : Sally Micaleff et Claire Borotra
Adaptation théâtrale : Didier Goupil
Musique : François Peyrony
Lumière : Jean- Francois Viguier
Assistanat : Patrick Séguillon
Costumes : Juliette Chanaud / Séverine Thiébaud
Production : CLEAR PRODUCTIONS / CLAIRE BOROTRA
Avec : Claire Borotra
Marilyn intime est un voyage dans l’intimité de la plus grande icône d’Hollywood…
Marilyn Monroe hante encore nos mémoires. Sa beauté, son sourire, sa lumière, son sex-appeal, sa mort brutale.
Mais derrière l’icône forgée par les studios hollywoodiens se débat une femme seule dans un monde d’hommes. Une femme qui nous ressemble plus qu’on ne le croit, une femme fragile, sensible, intelligente qui surmonte les épreuves, les désillusions, les doutes avec une volonté et une joie de vivre inaltérables jusqu’à ce que le piège se referme sur elle et qu’elle soit rattrapée par la blessure originelle qui la hante : l’absence de cette mère qui l’a abandonnée quand elle était enfant…
THÉÂTROTHÈQUE :
« Un texte admirablement écrit et interprété par Claire Borotra, qui nous envoûte, nous charme, nous bouleverse, et nous fait découvrir pour ceux qui la connaissent mal, une Marilyn pleine de tendresse, de fragilité, de désillusions, qui ne demandait qu’à être aimée en tant que femme, et terriblement blessée et marquée par l’abandon de sa mère, et l’absence d’ un père qu’ elle n’ a jamais connu.
Claire Borotra vit pleinement son personnage et nous dévoile une actrice pleine de talent, de sensibilité, et de beauté. »
TÉLÉRAMA :
« Sensible et attachant »
L’ HUMANITÉ :
« Lit défait, chambre en vrac. Comme la vie de Marilyn. Un mythe né il y a 90 ans, et qui reste gravé dans l’imaginaire collectif, sourire pourpre et robe au vent. « J’avais besoin de raconter cette histoire, cette relation à la solitude de la star la plus adulée au monde » dit Claire Borotra qui sur la scène propose l’autre facette de la star, le visage caché, intime, loin des lumières et des propos amers des soi-disant amis et des partenaires jaloux peut-être. Abandonnée par sa mère malade, accueillie dans un orphelinat, Marilyn a toujours traîné ce fardeau. En même temps, consciente de son sex-appeal, dont elle use, voire abuse, sans en être dupe, Marilyn glisse sur son fil de soie, jusqu’à la fin de l’histoire. » Gérald Rossi